Au commencement, il y avait les accords, ces promesses gravées dans l’histoire comme une lueur d’espérance.
Une devise : « Terre de parole, terre de partage ». Une ambition : construire un destin commun.
Mais aujourd’hui, la parole semble s’être éteinte. Les voix s’élèvent, mais elles ne se rencontrent plus.
La Nouvelle-Calédonie, riche de ses différences, s’est fragmentée en camps retranchés :
Kanak ou Loyalistes, deux visions pétries de certitudes, incapables de se transcender….
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