Isabel et Xeandre – La Loi du Monde
Revenir à l’essentiel dans une approche de détachement.
Trouver ce que nous cherchons blotti au creux de nous.
Libérer cet espace immense et recevoir en émerveillement ce qui nous anime.
Ne plus quitter cet état de vertige profondément humain.
Le couple Xéandre et Isabel nous ressemble car leur parcours est toujours actuel.
Leur cheminement profond a traversé les époques et leur expérience est fondamentale pour chacun d’entre nous car il s’agit d’une rencontre avec ce qui est le plus intime que l’intime de nous-mêmes.
On parle d’intérieur et même de l’intérieur de l’intérieur pour dire le plus pur et le plus élevé.
Ainsi s’écrit la Loi du Monde pour lui comme pour Isabel investie dans un domaine plus culturel où la création côtoie la beauté.
Ces deux êtres nous parlent d’incréé et nous guident de leurs ombres vers leurs clartés.
Il filtre quelque chose de leur âme, à l’abri des regards, qui procède de la douceur du néant.
On peut parler du Dieu du temps qui passe. Celui qui nourrit la part non maîtrisée de la vie.
Sans obligation d’y croire si ce n’est au message de la Loi du Monde qu’il nous livre : « Je t’aime depuis toujours, et pour toujours, tu ne le sais pas, mais je t’aime ».
Getting back to basics in a detachment approach.
Finding what we are looking for nestled deep within us.
Free this immense space and receive in wonder what animates us.
Never leave this profoundly human state of dizziness.
The couple Xeandre and Isabel resemble us because their journey is always current.
Their profound journey has spanned the ages and their experience is fundamental for each of us because it is an encounter with what is most intimate than the innermost part of ourselves.
We speak of the interior and even of the interior of the interior to say the purest and the highest.
This is how the Law of the World is written for him as for Isabel, invested in a more cultural domain where creation rubs shoulders with beauty.
It filters something from their soul, hidden from view, which comes from the sweetness of nothingness.
We can talk about the God of time that passes. The one who nourishes the uncontrolled part of life.
Without obligation to believe it except in the message of the Law of the World that he delivers to us: “I have always loved you, and forever, you do not know it, but I love you”.
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