Sans relâche, en fin de journée animés de l’esprit principiel sous les feux éternels sphériques et circulaires des constellations et des étoiles, Xeandre marchait :
—Pourquoi pensait-il a-t-il fallu que les hommes furent établi dans la matière au lieu de vivre en la félicité suprême ? Qu’ont-ils commis de si affreux ?
A ces questions Xeandre n’avait pas de réponses. Au fond de lui il pensait :
—L’insuffisance des mots pour dire l’âme et l’expérience de l’intime est fondamentalement indicible. Il est difficile de parler des choses lorsqu’elles émanent de la cause première.
Qui pourrait parler de la création et du jaillissement de la grâce dans l’âme ? Ne suffit-il pas alors de garder le silence ? se demanda-t-il.
—Pourquoi pensait-il a-t-il fallu que les hommes furent établi dans la matière au lieu de vivre en la félicité suprême ? Qu’ont-ils commis de si affreux ?
A ces questions Xeandre n’avait pas de réponses. Au fond de lui il pensait :
—L’insuffisance des mots pour dire l’âme et l’expérience de l’intime est fondamentalement indicible. Il est difficile de parler des choses lorsqu’elles émanent de la cause première.
Qui pourrait parler de la création et du jaillissement de la grâce dans l’âme ? Ne suffit-il pas alors de garder le silence ? se demanda-t-il.
Xeandre marchait toujours entre sa vie et sa mort à venir, il étreignait cette lutte, ces trêves et ces accords perceptibles dans le silence, sans le briser, lui rappelant que tout est jeu.
Jouer avec soi avec la vie et la mort avec le sort selon son cœur tels des enfants de lumière jouant de nos forces comme on joue à marcher sur son ombre sans jamais l’attraper.
Fugace victoire pour tenter de ceindre la couronne de laurier et d’olivier.
A présent le soir descendait, aussi doré que l‘avait été le matin et le plein jour révolu.
…à suivre…
Illustrations © Alexandre Rosada
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