Ainsi, la responsabilité de l’individu envers le bien-être collectif est d’agir avec conscience et empathie.
C’est dans cette alchimie entre la singularité de chacun et l’universalité des liens que se dessine une société juste et harmonieuse.
L’individu, en aimant, en questionnant, et en s’engageant, devient le bâtisseur silencieux de cet édifice commun.
Les positions clivantes sont vouées au repli sur soi et à l’exclusion de l’autre.
C’est dans cette alchimie entre la singularité de chacun et l’universalité des liens que se dessine une société juste et harmonieuse.
L’individu, en aimant, en questionnant, et en s’engageant, devient le bâtisseur silencieux de cet édifice commun.
Les positions clivantes sont vouées au repli sur soi et à l’exclusion de l’autre.