L’Amour Révélé vu par les Nouvelles Calédoniennes
Les Nouvelles Calédoniennes du samedi 19 Juin 2021 font honneur aux auteurs et éditeurs  du pacifique
Dans cette sélection l’ouvrage d’Alexandre Rosada.
Trois textes , avec comme fil conducteur l’Amour :  L’amour-éros, l’altérité et l’amour blessé.
L’auteur aborde ces thèmes dans le contexte calédonien où ces question d’homosexualité sont tabous et/ou mal comprises et admises.
Pourtant l’ Amour, est au-dessus de tout car il révèle surtout ce qu’il révèle ce qu’il y a de plus profond en nous.

Publication Ecrire en Océanie .
Préface de Nicole Chardon Isch, auteure.

1 Commentaire

  • Alexandre Rosada Publié le 7 novembre 2021 15 h 42 min

    De retour sur le Caillou je viens de prendre connaissance de ton dernier ouvrage sur
    « L’Amour révélé » auquel je serais tenté d’ajouter jusqu’à L’homme libéré. Admiratif! Je suis admiratif pour ton courage et ta détermination dans ce coming- out.
    Personnage public comme tu l’es…il fallait oser, et tu l’as fait, et bien fait!
    Le ressenti au cours de la lecture, c’est ta libération et la résurrection qui s’en suit, tel le Phœnix renaissant de ses cendres c’est une dimension jubilatoire qui en résulte … Même si l’on subodore la nostalgie et l’attachement aux chaînes que tu serais prêt à reprendre si cet amour se représentait!
    Un regret cependant…
    Le passage sur ton enfance maltraitée, sur le poète en herbe cisaillé et moqué, sur ta solitude familiale et la fraternité absente…Un plus grand développement aurait, à mon humble avis, ajouté cette dimension encore plus émouvante qui explique l’adulte par l’enfant, mais tu as certainement eu raison car « Poil de carotte » ou « Cosette » ont déjà marqué les esprits et tu t’es gardé du cliché trop facile…
    La passion ressentie pour l’être aimé est exemplaire ,très forte, et aussi bouleversante que la crise de désespérance et d’hérence qui s’ensuit.
    Les phrases courtes de ton écriture donnent cette vie et cet authenticité qui empêchent le lecteur de lâcher un livre avant sa fin.
    Je suis certain que ton ouvrage va marquer un grand moment dans l’anthologie calédonienne. Bravo et « Respect » mon cher Alex.
    André

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