Antoine Pecquet, vu par Alexandre Rosada
C’est un peu comme un puzzle, j’assemble différents éléments de différentes sources et le but du jeu, c’est d’essayer de leur donner une homogénéité et pour ça, le logiciel Photoshop est un outil approprié » explique l’artiste.
Il intitule son exposition « Tout doit disparaitre » comme un rappel de notre propre finitude. Un titre qui peut résonner également comme une métaphore pour la société Calédonienne appelée à se trouver un destin…
Les 15 estampes numériques interpellent par leurs mystères et leur plasticités réussies. Elles ne laissent le spectateur  jamais insensible.

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