De l’Absurdité de la Violence…
La misère des peuples, son sentiment d’abandon et de mépris, consolident les errances dictatoriales dictées par des leaders despotiques.
Ces dirigeants, nourris au berceau des idéologies totalitaires, profitant de la détresse et du désespoir généralisés, manipulent les masses en promettant des solutions rapides et des lendemains meilleurs.
Ils exploitent les frustrations pour asseoir leur pouvoir, utilisant la peur et la division comme outils de contrôle.
Face à eux des institutions, fragilisées par l’inefficacité, peinent à résister à cette montée autoritaire.
La justice joue son rôle avec sérénité, mais elle est souvent remise en questions, les voix dissidentes sont étouffées, et les médias sont soit muselés, soit transformés en instruments de propagande.
La société civile, résiste mais déjà affaiblie, par des mesures inappropriées lutte pour s’opposer à des décisions légales mais immorales.
Cependant, malgré ces sombres perspectives, issues d’un gouvernement déphasé, des poches de résistance pacifique émergent.
Des individus courageux et compétents aidés par des mouvements sociaux s’organisent pour défier l’autorité despotique, en réclamant justice et dignité. Ils utilisent la force de la loi qui régit toute les démocraties éclairées.
Ils s’appuient sur les valeurs universelles de liberté et d’égalité pour mobiliser les consciences et appeler à un changement profond favorable à l’intérêt général et non pas à une seule coterie.
La lutte est ardue et les sacrifices nombreux, mais l’espoir d’un avenir meilleur continue de brûler dans le cœur de ceux qui refusent de se soumettre pour faire avancer le Pays dans le concert du monde.
Cette quête incessante de liberté et de justice représente la véritable force des peuples respectables, pour vivre ensemble et bâtir une cité plus juste et équitable.
@Mai 2024
2 Commentaires
Toujours aussi cinglant Alexandre ROSADA !
Tout cela vu de l’extérieur a l’air a la fois bien compliqué et desué. Toujours les mêmes clivages, les mêmes difficultés ; ceux qui n’ont rien contre ceux qui ont tout ; les blancs contres les noirs…que reste-t-il des accords de Matignon et ceux d’Ouvea , a quoi auront servi tous ces morts ?
Je me souviens de l’effervescence dans les bureaux de RFO Paris au moment de couvrir ces événements, les coups de téléphone tardifs en provenance ou a destination des Cellules de crise ou du bureau du Premier Ministre, des équipes de reportage a constituer puis a envoyer en mission,….
C’est un éternel recommencement !
Merci Patrick,
EN effet l’histoire se répète mais la bonne question est pourquoi ? Qu’avons nous fait ou oublié de faire pour que l’histoire dramatique se répète, avec des larmes et du sang ?
L’humain est imparfait. Il cherche selon moi, trop souvent sa voie avec de mauvais outils, ceux de la colère et de la haine.
Il devrait utiliser davantage la paix et le dialogue de la noble politique pour sortir du tunnel.
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