Temple des maçons brûlé, cabinet de réflexions,
Les flammes ont ravagé leurs nobles ambitions.
La franc-maçonnerie, en proie à la haine,
Voit son édifice s’effondrer, la discorde en scène.
Barbarie sans égale, chaos impitoyable,
Réduisant en cendres ce sanctuaire admirable.
Mais au cœur de l’ombre, un phénix majestueux,
S’apprête à renaître, fier et lumineux.
Des cendres il surgit, porteur d’un nouvel espoir,
Son vol gracieux éclaire la nuit, chasse le noir.
La haine se dissipe, la discorde s’éteint,
Devant la renaissance, le renouveau certain.
Les maçons se rassemblent, unis par le destin,
Réparant les dommages, sur le même chemin.
Les pierres se redressent, solides, éclatantes,
Le temple se reforme, structure éclatante.
Dans ce cabinet sacré, les réflexions renaissent,
La sagesse retrouvée, les esprits se dressent.
Le phénix les inspire, symbole de leur quête,
Révélant la puissance des âmes en fête.
La franc-maçonnerie, victorieuse, renaît,
Des flammes purifiantes, elle se libère enfin.
La haine est vaincue, la discorde apaisée,
Barbarie dissipée, ordre retrouvé.
Le temple s’érige, magnifique et puissant,
Symbole éternel d’un renouveau constant.
Et les maçons, forts de leur résilience,
Poursuivent leur œuvre, en paix et en conscience.
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