Trop blanc, trop Zor, trop d’horizons,
Je me perds dans ces partitions,
La Calédonie en mille teintes éclate,
Et moi, qui suis-je dans ce théâtre ?
Je me perds dans ces partitions,
La Calédonie en mille teintes éclate,
Et moi, qui suis-je dans ce théâtre ?
Ni tout à fait des vagues salées,
Ni tout à fait des terres brûlées,
Je danse entre ces dualités,
Tel un étranger dans ma moitié.
Le ciel mélange ses bleus profonds,
Trop Zor pour l’un, trop blanc pour l’autre,
Entre deux mondes, je marche,
Égaré dans leurs approches.
Mais qui suis-je dans ces reflets
Que l’océan semble renfermer ?
Entre les regards et les coeurs,
Je suis celui qu’aucun ne nomme.
Alexandre Rosada @octobre 2024
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