Assis autour d’un feu de camp, sous un ciel étoilé, Jeansen lui parlait des merveilles de la connaissance, de l’importance de la quête intellectuelle dans la vie d’un individu.
Cependant, au milieu de ces discussions enflammées sur la quête de la vérité et la beauté de l’apprentissage, Jeansen glissa subtilement dans la conversation l’ombre des « cabinets de dévotions ».
Il évoqua les réseaux obscurs qui s’entrelaçaient dans les coulisses de certains cercles intellectuels, où la quête du pouvoir et de l’influence éclipserait parfois la pureté de la connaissance.
—Tu dois être prudent, Xeandre, avertit Jeansen d’une voix grave. Dans ces cercles, la soif de pouvoir peut corrompre même les esprits les plus éclairés. Les cabinets de dévotions peuvent être des lieux où les idées nobles se mêlent à des desseins plus sombres. Certains cherchent à manipuler les connaissances pour servir leurs propres intérêts, au détriment de la vérité et du bien commun.
Xeandre écoutait attentivement, réalisant que même dans le monde de la pensée et de la connaissance, il y avait des pièges à éviter. Il prit les paroles de Jeansen comme un discernement précieux, déterminé à rester fidèle à ses idéaux tout en naviguant avec prudence.
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